lundi 16 janvier 2012

Thérèse Raquin, Zola

En 1867 parait le troisième roman d’Emile Zola, Thérèse Raquin. Beaucoup critiqué par ses pairs, son œuvre est qualifiée de littérature putride, Zola va devoir se justifier dans une préface où il signale qu’il a voulu étudier « des tempéraments et non des caractères ».
On découvre à travers cette œuvre les prémices du naturalisme, mouvement fondé par Emile Zola. Il y met en scène des personnages et les fait évoluer dans un environnement précis.
Thérèse Raquin, alors bébé, est accueillie chez sa tante, madame Raquin. Élevée aux côtés de son cousin malade, Camille, elle mène une vie morose. Madame Raquin décide un jour de marier les deux enfants et d’ouvrir une mercerie dans Paris.
Et c’est ici que tout commence, Thérèse y rencontre Laurent, ils vont très vite devenir amants mais leur relation secrète va les pousser au crime. Ils décident de tuer Camille pour pouvoir vivre librement leur amour.
Zola nous plonge dans un univers à la fois glauque et palpitant où la folie va prendre le dessus sur la raison.

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